Féminine
Quelles sont les motivations des femmes suivant nos cours?

Voici un article qui vous fera certainement réagir, et qui répond clairement!
LES FEMMES FACE A LA VIOLENCE DES HOMMES:Les femmes sont confrontées à la violence partout sur notre planète. Et plus particulièrement à celle des hommes. Il semble qu’il n’y a pas d’échappatoire à la domination masculine ; c’est tellement « universel », que cela a l’air naturel…Alors disons-le tout net : ce n’est pas naturel ! C’est culturel ! Nuance ! C’est par un conditionnement extrêmement précoce, que s’installe la différence de statut social entre les hommes et les femmes. Ils apprennent à dominer, elles apprennent à se soumettre…
Chez nous en Europe occidentale, les filles ont eu la chance de démontrer leur intelligence qui n’a rien à envier à celles des garçons. En revanche en ce qui concerne la supériorité physique, les choses sont différentes ; celle des garçons apparaît comme une réalité incontestable. Les filles affronte très tôt leur supposée infériorité physique, mais on sait très bien que la « faiblesse des femmes est toute relative. Les femmes ont certes moins de puissance musculaire, mais elles ont plus de résistance !
La violence masculine n’est pas un mythe ; gifles, coups, viols, inceste, mutilations, assassinats sont malheureusement des redoutables réalités…
En attendant, on fait quoi ? On explique à son agresseur, qu’il n’est qu’un minable représentant du « patriarcat triomphant », et qu’il sera jugé par l’histoire… On se laisse faire ?
Non ! On se défend ! Une femme a autant de capacités qu’un homme à défendre son intégrité physique ! Un nez humain est fait de cartilage, et ce cartilage est fragile et très sensible, même s’il appartient à un colosse. Quand on l’écrabouille ; ça lui fait très mal, autant qu’à n’importe qui, et ça le « neutralise » ! On peut enfoncer un doigt dans l’œil, c’est faisable sans être un athlète juste en ayant appris le geste qui permet de sauver sa peau !
Appel à la violence ? Non ! Appel à la défense.
L’auto-défense, c’est la préservation de ce que l’on a de plus précieux : sa vie. Quand il est impossible de fuir, quand il faut « tout jeter dans la bataille » ; la force est dans la tête avant d’être dans les muscles !
Texte extrait d’un chapitre rédigé par une pratiquante, tiré du livre de Robert PATUREL « Boxe de rue II »